Introduction à la science politique

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Introduction à la science politique : Objets, méthodes, résultats, objectifs,  3ème édition revue et augmentée, Paris, Presses de Sciences po et Dalloz, 2015, 773 p

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Quelques réactions à la parution de la deuxième édition

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  • Mode d’emploi

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Extraits significatifs du manuel

 

  • Conférences et débats autour du livre

2018 « Quelle science politique pour quels usages ? » USJ Beyrouth, 26 mars. Quelle science politique pour quels usages ?

2013 « A quoi sert la science politique ? », École de la Gouvernance et de l’Économie de Rabat, 9 novembre.A quoi sert la science politique ?

2012 « Les conceptions de la science politique », école doctorale de l’IEP de Bordeaux, 14 décembre.

2011 « L’évolution des conceptions de la science politique », IEP de Lyon, master de science politique, 24 mars.

2011 « La science politique : présentation de l’ouvrage publié chez Dalloz et aux Presses de Sciences Po », IEP de Grenoble, séminaire de recherche des masters, Janvier.

2011 La science politique et le monde arabe : d’une relation problématique à un savoir problématisé, Casablanca, 28 mars La science politique et le monde arabe : d’une relation problématique à un savoir problématisé

2001 Le français comme source de distinction pédagogique : un suspect habituel mais un faux coupable, Montréal, 20 mai. Le français comme source de distinction pédagogique : un suspect habituel mais un faux coupable

 

  • Bonus

Cette rubrique comprend des textes, des graphiques ou tableaux, et des références, qui n’ont pas trouvé place dans la deuxième édition du manuel, ou bien encore, qui ont vocation à abonder sa troisième édition.

  • Trouvez des documents inédits à l’appui du livre

Certains documents consomment trop d’espace pour être publiés sans alourdir l’ouvrage à l’excès : vous les trouverez ici.

LE-PROFESSEUR-MORTIMER1 : aurait pu être un grand encadré du chapitre 4, sur l’épistémologie des sciences

Les schémas de Thomas Kuhn sur la démonstration de Copernic, illustration des p.179 à 183 D’Aristote à Ptolémée, Copernic, Kepler

  • Collaborez à la production de la prochaine édition !

Désormais, les internautes peuvent aider un auteur à ajuster ses propos à leurs besoins ou à suivre leurs suggestions. Tout commentaire déposé ici sera utile et sera pris au sérieux.

  • Actualiser le contenu

Proposer de nouvelles illustrations des arguments du livre, renvoyer à des liens permettant de mettre les exemples existants à jour.

Au menu de la quatrième édition en cours de réalisation : un nouveau chapitre, « les nouvelles frontières de la science politique« , où il sera question des robots, des algorithmes et de la blockchain, des animaux, des humains augmentés, etc.

  • Rectifier les erreurs

Signaler les éventuelles coquilles ou inexactitudes (dates, lieux, noms de personne, intitulés d’opérations ou de mesures publiques, etc.)

  • Commenter les fragments de texte nouveaux en cours de rédaction.

Comme ceux-ci sont présentés sans beaucoup d’explication, ils peuvent servir de support à des observations opportunes ou soulever des demandes de clarification qui obligeront l’auteur à préciser et à compléter sa pensée.

  • Exprimer un besoin, signaler une lacune

Un manuel, aujourd’hui, devrait être un œuvre collective, sans cesse mise à jour et enrichie. Un auteur seul doit pouvoir compter sur ses lecteurs pour l’aider à rédiger un texte à la hauteur de leurs attentes, qui puisse être nourri par leurs contributions

  • Poser une question, demander une précision

Les lecteurs on toujours des interrogations sur un passage du texte, leur répondre permet de clarifier le propos, de préciser ses idées. Exemples de questions de lecteurs : QFP-FAQ

9 réponses à Introduction à la science politique

  1. Jean-Rodrigue Paré dit :

    Bonjour M. Schemeil,

    J’utilise votre livre pour mon cours d’introduction à la science politique, et deux imprécisions ont provoqué un malaise dans la classe. 1) À la page 43 de la troisième édition, à propos des termes « politologie » et « politologue », il est écrit: « Mais on mélangerait là encore un mot grec et un mot latin. » Cette affirmation renvoie évidemment à « science politique », mais l’ambiguïté de la phrase précédente a fait que nombreux sont mes étudiants qui ont cru que le commentaire s’appliquait à « politologie ».

    L’autre malentendu vient de votre référence à « Napoléon Bonaparte » au sujet des élections françaises de 1848 (page 128). Il aurait peut-être été opportun d’utiliser « Louis-Napoléon Bonaparte », ou au pire « Napoléon III ».

    Par ailleurs, le manuel nous est très utile. Il pose les questions essentielles et provoque les discussions qui nous permettent de rejoindre le noyau de ce qui donne un sens à la profession de « politologue ».

    Merci.

    Jean-Rodrigue Paré, Ottawa

    • yves schemeil dit :

      Merci de votre commentaire, ces imprécisions n’auraient pas du échapper à une relecture vigilante. La seconde (sur Louis-Napoléon) est d’autant plus ennuyeuse qu’elle prend à défaut mon empathie proclamée pour les lecteurs non français, les autres faisant spontanément et peut-être inconsciemment le pont entre ce qu’ils lisent et ce qu’ils savent. Quant à la première, elle est incompréhensible : « politologie », qui est bien ce dont le texte parle à cet endroit, est bien forgé sur deux racines grecques, la confusion vient de l’association entre le latin politicus et le grec logos (le « ti » est donc à l’origine de ce malentendu). Si j’avais écrit juste avant « publiologie », la remarque serait juste – et cela me fait penser que « science publique » aurait été un bon candidat aussi, dans l’absolu. Je l’éliminerai de la prochaine édition, promis !

  2. kawtar dit :

    Mr Yves Schemeil .. SLvp je VeuX Un Pdf De L introduction a la science politique : objets methodes resultats

  3. Samir dit :

    Bonjour M. Schemeil,
    Je suis très intéressé par les idées que vous présentez. S’il vous plaît je veux savoir quelle est l’approche qui explique mieux les phénomènes du pouvoir, notamment la dualité « contrainte acceptation »?
    Merci

    • yves schemeil dit :

      Bonjour Samir, merci de votre intérêt pour ce texte. Disons que les deux sont nécessaires, et qu’elles sont placées aux deux extrémités d’un axe continu allant de la première (contrainte absolue, par des régimes totalitaires) à la seconde (acceptation spontanée, sans réserve, dans des régimes démocratiques) – les situations réelles se trouvant bien évidemment entre les deux, soit plus proche de l’une, soit plus proche de l’autre. Dans cet intervalle on trouve les théories de l’obligation politique qui lie ensemble les citoyens de bonne volonté vivant en régime de type « républicain » et les théories du conformisme (de la « compliance » en anglais) applicables aux régimes libéraux (quand elle est limitée à la sphère publique) aussi bien qu’illibéraux (quand même la liberté d’opinion est menacée).

  4. warda dit :

    bonjour Mr scheimel,
    Je suis tres interessée par votre ouvrage et les idées que vous avez traité et j’aimerais bien savoir votre opinion sur les approches d’analyse en science politique, laquelle vous semble la mieux adaptée à l’etude des phenomenes des pouvoir???
    Merci.

  5. warda dit :

    bonjour Mr scheimel,
    Je suis tres interessée par votre ouvrage et les idées que vous avez traité et j’aimerais bien savoir votre opinion sur les approches d’analyse en science politique, laquelle vous semble la mieux adaptée à l’etude des phenomenes des pouvoir???
    Merci.

    • yves schemeil dit :

      Eh bien,un mix de toutes ! Mais cela dépend aussi du domaine d’études (je trouve le rational choice plus adapté aux études internationales, et l’interactionnisme plus utile dans les études internes).

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